Débat très animé entre la présidente du Front National, Marine Le Pen, Caroline Fourest et Laurent Joffrin dans l’émission politique « Des paroles et des actes », diffusée jeudi sur France 2 et présentée par David Pujadas.
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Pour la fête des pères, ma belle-fille m’a offert le livre de Caroline Fourest, publié chez Grasset : MARINE LE PEN. Elle sait que j’adore les biographies et, bien entendu, que j’ai un faible pour Marine. Merci donc. Toutefois je dois avouer que j’ai du mal à avaler ce salmigondis de ragots journalistiques, et depuis 8 jours je n’en suis qu’à la page 100 du pavé qui en compte plus de 400 !
Quatre cents pages d’insultes, de on-dit, de rumeurs glauques, de contrevérités, de mensonges éhontés, de citations tronquées et de fautes d’orthographe ! Je me demande si j’aurai le courage d’aller jusqu’au bout ! Je vais écrire à Grasset pour lui faire part de mon étonnement d’un tel laxisme. L’auteur (je refuse la féminisation du mot ‘auteure’ et n’accepterais pour elle que celle d’écri-vaine !) ne mérite aucun droits pour son ouvrage, ceux-ci sont à distribuer aux piliers de bistrots de son quartier. Quant aux textes de liaison qui parsèment sa logorhée nauséeuse, ils vaudraient une sérieuse relecture car, lorsqu’on parle des LE PEN, père ou fille, si respectueux de notre langue, on devrait mettre un point d’honneur à soigner ses propos jusque dans l’écrit. Mais voilà, ce n’est pas facile, l’insulte aux lèvres, d’être à la hauteur de ceux qu’on prétend rabaisser ; Fourest, ce n’est pas le langage de la rue, c’est celui du caniveau.
Fervent admirateur d’Yves Calvi, j’avais déjà vu Caroline Fourest lors d’émissions C’ dans l’air sur France 5, mais je n’avais pas retenu son nom… Hier soir, compte tenu du livre et à la faveur de l’émission de Pujadas sur la 2, j’ai enfin mis un visage sur le tas d’ordures qu’on m’a offert pour la fête des pères ! Ainsi ce museau chafouin qui m’avait déjà hérissé le poil dans le passé a pour nom FOUREST ; j’en suis fort aise et satisfait de voir à quel point elle peut physiquement se ressembler. Elle est le vivant portrait de ses écrits d’essayiste, son rictus se retrouve jusque dans ses fautes d’orthographe, elle est elle-même… abjecte pour tenter d’échapper à sa vanité.
Quel horrible cadeau pour une fête des pères !!
Je n’ai pas lu le livre mais je ne doute pas de son contenu, ayant le malheur de bien connaitre C.Fourest… Et vous dites vrai : elle est le portrait vivant des propos qu’elle tient : on lit sur son visage toute la haine, la bêtise qu’elle respire. Je m’amusais à créer des caricatures à partir de photos de célébrités et pensais trouver le matériau idéal avec sa photo ; je me suis vite rendu compte qu’il n’y avait rien a changé !
Caroline Fourest devrait reverser des droits d’auteur à Marine,car elle est une vraie mine d’or pour elle!l’argent n’a pas d’odeur. Ah! c’est vrai! C.Fourest est une journaliste…mais ne trouvez -vous pas qu’elle devrait se diversifier un peu pour rester credible?Allez Caro, on ne vous en veut pas, vous etes pitoyable….
Pour la fête des pères, ma belle-fille m’a offert le livre de Caroline Fourest, publié chez Grasset : MARINE LE PEN. Elle sait que j’adore les biographies et, bien entendu, que j’ai un faible pour Marine. Merci donc. Toutefois je dois avouer que j’ai du mal à avaler ce salmigondis de ragots journalistiques, et depuis 8 jours je n’en suis qu’à la page 100 du pavé qui en compte plus de 400 !
Quatre cents pages d’insultes, de on-dit, de rumeurs glauques, de contrevérités, de mensonges éhontés, de citations tronquées et de fautes d’orthographe ! Je me demande si j’aurai le courage d’aller jusqu’au bout ! Je vais écrire à Grasset pour lui faire part de mon étonnement d’un tel laxisme. L’auteur (je refuse la féminisation du mot ‘auteure’ et n’accepterais pour elle que celle d’écri-vaine !) ne mérite aucun droits pour son ouvrage, ceux-ci sont à distribuer aux piliers de bistrots de son quartier. Quant aux textes de liaison qui parsèment sa logorhée nauséeuse, ils vaudraient une sérieuse relecture car, lorsqu’on parle des LE PEN, père ou fille, si respectueux de notre langue, on devrait mettre un point d’honneur à soigner ses propos jusque dans l’écrit. Mais voilà, ce n’est pas facile, l’insulte aux lèvres, d’être à la hauteur de ceux qu’on prétend rabaisser ; Fourest, ce n’est pas le langage de la rue, c’est celui du caniveau.
Fervent admirateur d’Yves Calvi, j’avais déjà vu Caroline Fourest lors d’émissions C’ dans l’air sur France 5, mais je n’avais pas retenu son nom… Hier soir, compte tenu du livre et à la faveur de l’émission de Pujadas sur la 2, j’ai enfin mis un visage sur le tas d’ordures qu’on m’a offert pour la fête des pères ! Ainsi ce museau chafouin qui m’avait déjà hérissé le poil dans le passé a pour nom FOUREST ; j’en suis fort aise et satisfait de voir à quel point elle peut physiquement se ressembler. Elle est le vivant portrait de ses écrits d’essayiste, son rictus se retrouve jusque dans ses fautes d’orthographe, elle est elle-même… abjecte pour tenter d’échapper à sa vanité.
Quel horrible cadeau pour une fête des pères !!
Je n’ai pas lu le livre mais je ne doute pas de son contenu, ayant le malheur de bien connaitre C.Fourest… Et vous dites vrai : elle est le portrait vivant des propos qu’elle tient : on lit sur son visage toute la haine, la bêtise qu’elle respire. Je m’amusais à créer des caricatures à partir de photos de célébrités et pensais trouver le matériau idéal avec sa photo ; je me suis vite rendu compte qu’il n’y avait rien a changé !
Caroline Fourest devrait reverser des droits d’auteur à Marine,car elle est une vraie mine d’or pour elle!l’argent n’a pas d’odeur. Ah! c’est vrai! C.Fourest est une journaliste…mais ne trouvez -vous pas qu’elle devrait se diversifier un peu pour rester credible?Allez Caro, on ne vous en veut pas, vous etes pitoyable….